Francisco MAZURENKO

« Le nid »

Béton, fer, spray

Le nid est une sculpture qui évoque une nature qui résiste, s’extrait du béton par sa force vitale, le nid matérialise la détermination des animaux a toujours s’adapter et cohabiter avec l’homme dans un cadre urbain.

 

« Le trophée »

Béton, fer, spray

Le trophée est pour moi un symbole du triomphe de la nature sur nos villes bétonnées, je l’ai baptisé le trophée car dans une guerre il faut toujours un gagnant et un trophée pour ce dernier. Ce sont les villes bombardées du moyen orient qui m’inspiraient ce triomphe de la nature, car dans une guerre nul ne l’emporte, c’est la nature qui l’emporte toujours, au-delà de nos folies et de nos excès.

 

« Moi cherchant ta lumière dans le vide de l’éternité »

Bronze

Cette pièce évoque la condition, condition humaine dans la société, dans son urbanisme, elle symbolise l’être dans la contrainte matérielle telle l’éducation ou l’environnement béton qui nous entoure. Le tournesol, à l’instar de l’humain cherche la lumière et s’élève vers elle

 

 « Que ferais-je… »

Acier, fer, porcelaine

Du poème de Samuel Beckett, le titre évoque le questionnement sur notre identité de citadin déconnecté de l’essentiel mais faisant toujours parti de ce tout nature duquel on ne peut s’extraire totalement. une silhouette humaine d’acier traversée par un arbre, symbole de vie et les masques qui plus que jamais matérialise la perte d’identité ou l’homogénéisation des personnalités, un hymne à la nature humaine qui tente de se reconnecter à la source.